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Economie

Contrefaçon ?! (bis répétita)

En attendant que le poteau rose pot aux roses soit révélé, je vous propose de faire un petit jeu, de deviner quel est la marque locale dont il s’agit ainsi que le distributeur. Celui qui trouve en premier gagne une ceinture chauffante pour les longues soirées d’hiver dans les embouchures. A vos marques, prêts, partez ! (bien entendu, mon indic n’a pas le droit je jouer…)

Contrefaçon ?!

Il se pourrait qu’un business de contre façon soit implanté en Polynésie dans le domaine du surfwear. Jusque la rien de nouveau, sauf que la contrefaçon en question concernerait une marque locale, ce qui est déjà étonnant, et distribué par un réseau de distribution qui n’a rien a voir avec les magasins chinois dans lesquels on trouve habituellement les articles disney de contrebande… J’enquète et je vous tiens au courant. (si c’est avéré, ça va faire mal, et ça va faire du bruit !)

Le dossier de Tahiti Business

Voici l’article paru dans Tahiti Business, auquel je fais des références dans mes récents posts. (la qualité du scan est pourrie, mais pour l’original, vous le trouverez dans toutes les bonnes boulangeries) Après l’avoir lu, vous pouvez lire les posts : Economie du surf en PF Arnaque du sponsoring Exemple de promotion de marque locale

3 exemples (simples) pour promouvoir une (petite) marque (locale)

Suite à certains commentaires reçus sur le blog et par téléphone, je vous propose une analyse de trois manières de promouvoir un produit très localisé au départ à l’échelle internationale, pour rebondir sur certaines remarques des derniers posts.

Le shape, difficile de trouver quelque chose de plus local. Un shaper, lorsqu’il commence, capitalise progressivement sur l’expérience des clients, et sur le bouche à oreille en fonction de sa manière de faire des planches. Voici donc trois shapers mondialement connus qui s’y sont pris différemment pour imposer leur marque au niveau mondial et pouvoir développer une vraie industrie après quelques années d’atelier.

L’arnaque du sponsoring en Polynésie française

Après le succès de l’article sur l’économie, plusieurs reproches m’ont été faits malgré tout :

  • First of all, j’ai gonflé tout le monde avec mon article trop long. Ok je prends note pour la suite…
  • Secondo, visiblement les mauvaises langues se sont déliées, je vais donc y aller plus carrément dans le ragot, vous m’avez l’air prêts pour ça !

Voici donc un article sur le business douteux des sponsorings dans le monde du surf.

Economie du surf en Polynésie française

La réponse du berger à la bergère, c’est a dire à l’article d’Isabelle Berteaux dans Tahiti Business

(l’article est un peu long, mais bon…) [edit]article dispo ici[/edit]

Ce mois-ci est sorti dans Tahiti Business un dossier complet sur le surf et son économie en Polynésie. Pour ceux qui ne l’ont pas lu pour l’instant, et en attendant que je mette des scans de l’article en ligne, voici brièvement les éclairages apportés par le dossier :

  • Un bref retour sur l’historique du surf en PF, avec une conclusion sur Bourez et McComb ma, l’avenir du surf tahitien.
  • Un encadré sur la production de planche et l’importation.
  • Une petite digression sur le paradoxe nombre de pratiquants/nombre de licenciés.
  • Un article dédié à Tanseau, Hee Nalu, Teahupo’o, et Hinano.

Comme vous savez que je n’ai pas vraiment ma langue dans la poche en matière de surf, surtout de surf tahitien, voici mon éclairage à moi sur l’année 2007

Du surf dans Tahiti Business

Un article intéressant est dans Tahiti Business ce mois ci a propos de l’économie du surf en Polynésie, je vais essayer de le scanner pour vous le sortir, d’ici la, essayez de le lire, je vais faire une sorte de réponse du berger à la bergère pour dire ce que j’en pense. (Je sais bien que vous vous en foutez, mais je le dirais quand même…)

En voila une idée qu’elle est bonne (ou comment arreter de peter des leashs bêtement )

[mode pub=on] Ce leash flotte ? Bon sang, mais c’est bien sur ! Il suffisait d’y penser, pour tous ceux d’entre vous qui niquez des leashs à longueur d’année sur le corail, et qui restez coincés bêtement à l’inside avec le leash sous une patate (ne rigolez pas, la première fois que ça arrive, on essaye de passer en force et on se fait bien marrave…) pour tous ceux d’entre vous, donc, voici la solution, qui a en plus le mérite d’être moins cher que les autres leashs du commerce, que demander de mieux ! Sortez vos porte monnaie, par ici le bon site (490 XPF d’expédition seulement, partout en Polynésie) [mode pub=off]