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Economie

Décidément, ils n’en ratent pas une…

Ahhh, un super article pondu une nouvelle fois par Tahiti Presse, nous apprend que : La Billabong Pro est certes un spectacle, un divertissement pour les amateurs comme pour les pratiquants du surf, mais c’est aussi une formidable entreprise qui rapporte à la Polynésie française environ 170 millions Fcfp (environ 1,5 million d’euros). Parallèlement, la Billabong Pro est un outil promotionnel gigantesque : 910 millions de foyers touchés répartis dans 192 pays, des milliers de pages dans différents magazines et 9 millions d’internautes par jour de compétition et qui n’ignorent plus où se situe Teahupoo. Décidément, nous ne savons pas d’où ils tiennent leurs sources, mais l’année dernière, c’était 188, et il y a trois semaines (vous pouvez encore lire l’article de l’ATP), c’était 140 ! C’est à se demander s’il y a des gens qui se répartissent les « millions en trop » en fonction de ce qui est vraiment dépensé

Qui veut gagner 48 Millions ?

De plus en plus fort, il y a un an, Tahiti Presse nous annonçait fièrement que la Billabong Pro rapportait 188 Millions par an. (nous vous le rapportions ici) Cette année, on a perdu des sous en route puisque c’est 140 Millions qu’on nous ressert sur le même site : La Billabong Pro et les trials sont importants dans l’économie de la Polynésie française puisque selon la fédération tahitienne de surf, Billabong dépense annuellement à Tahiti pour les hébergements, location de voitures, et autres dépenses, 70 millions de Fcfp (environ 600 000 euros) auxquelles il faut ajouter les dépenses des 150 surfeurs pendant les douze jours de compétition ainsi que les dépenses des visiteurs. « L’ensemble doit avoisiner 140 millions de Fcfp (1,2 million d’euros) dont bénéficie l’économie polynésienne », affirme Pascal Luciani, président de la fédération tahitienne de surf. Bon, si vous avez trouvé les millions qui manquent, vous êtes priés

Tahiti Surf Shop, votre nouveau shop sur Internet

  Tout d’abord, voici donc le site qui règlera tous vos problèmes de matos, Tahiti Surf Shop. Pour vous convaincre, sachez que le site propose l’achat des dérives FCS à l’unité, et la livraison dans les îles pour 490 XPF, quelque soit le nombre d’article et leur taille. Les copines de surfeurs n’ont pas été oubliées, puisque des bikinis top tendance sont proposés à partir de 3500 XPF. Pour envoyer aux cousins dans les îles, un catalogue PDF est disponible pour éviter d’attendre que ca charge sur Internet. Enfin, des lunettes Mundaka sont proposées à 7000 XPF, un prix incroyable pour des modèles killer style Cette année pour les achats surf de noël, pensez Tahiti Surf Shop !

Surf is up, Dude…

 Qu’y a t’il comme point commun entre Lilo & Stich, la Planète au Trésor, et le dernier James Bond ? Réponse, ils ont tous essayé de récuperer une séquence de surf, avec plus ou moins de succès, pour pimenter leur film. Bonne nouvelle pour nous autres surfeurs, voici un film (d’animation) qui ne traite QUE de surf, et qui, à en juger par les extraits, a été supervisé par des gens qui savent ce que tuber veut dire… Précipitez vous sur la bande annonce du film c’est absolument jouissif de voir nos potes les pingouins sur des boards !

La vague des Surf Camps pour Girls Only.

 Que ca plaise aux garçons ou non, les filles ne sont plus les « surf widows » des eighties, à bouquiner dans la voiture en attendant monsieur, ni à accepter de passer sur la banquette arrière pour laisser le siège avant à la sacro-sainte planche de son mec. Désormais, les filles sont à l’eau, et rippent, que ce soit en longboard, en shortboard, aussi ne vous avisez pas de restez dans leur chemin. Et comme il n’est pas question de se laisser prendre la tête par les machos qui pensent que l’on va à l’eau juste pour se faire draguer, des surf camps réservés aux filles ont vu le jour. Voici quelques liens pour vous faire une idée : girlsgonesurfing.net et solsessions.com. Les magazines de surf ne sont pas en reste, puisque de plus en plus de publication de glisse se spécialisent dans le « féminin ». Pour les surfeuses dans l’âme, on trouve

"Teahupo’o c’est pas une vague de gonzesse !"

Bien entendu, cette phrase n’est pas le reflet de l’équipe de Tahiti Surf Report, mais bien l’opinion de l’ASP qui a décidé que 2006 serait la dernière année où les filles du WCT surferaient Teahupo’o. Les voix de Rebecca Woods et Layne Beachley se sont déjà élevées pour déplorer cette annulation pour le tour 2007, cette dernière dénonçant cette décision « sexiste et irrespectueuse », et se fait la porte-parole des filles du tour pour réclamer leur retour à Teahupo’o l’année prochaine.

C’est qui qu’a gagné la Billabong ?

 La rédaction de Tahiti Presse semble avoir été un peu vite en besogne pour annoncer le champion de Teahupo’o 2006. « Bobby Martinez s’inclinait devant Fred Patacchia » !?!? L’erreur fut réparée quelques heures plus tard par le « correspondant naturel des médias, en métropole, dans le Pacifique et ailleurs dans le monde ». (selon les propres termes de l’agence) Cet impair n’a heureusement pas porté préjudice au premier évenement sportif international du territoire et est passé inaperçu, sauf pour la rédaction de Tahiti Surf Report ;-).

Nouvelles technologies

  Ca y est, maintenant, on en est sur, l’industrie du shape sur mesure survivra à la crise qui a suivi la fermeture de l’usine Clark Foam (voir archive newsletter ) Cependant, l’attitude « Wait&See » de l’industrie a profiter a des acteurs du marché qui, loin d’être nouveau dans le business, en ont profité pour affuter leurs arguments. Deux grands axes ont été explorés par ces compagnies : Tout d’abord, ceux qui ont opté pour un surf grand public, mettant de coté le concept de « custom surfboard ». Bic, pionnier du domaine, s’est vu rattrapé par NSP, Santa Cruz, Surftech et Aviso. L’offre de ces sociétés est orienté production de masse, mais est assez complète, chaque marque proposant un nombre important de modèle, allant du Fish au Longboard. Les technologies sont assez différentes depuis l’epoxy jusqu’au carbon moulé, avec des caractéristiques de planches encore mal connues. Quoiqu’il en soit, de plus en plus