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Pourquoi la vitesse de votre site influence votre positionnement sur Google

La vitesse de chargement de votre site web joue un rôle déterminant dans votre classement sur Google. Cet aspect technique, souvent sous-estimé, peut avoir des conséquences directes sur votre visibilité en ligne et votre capacité à attirer et fidéliser des visiteurs. Voici pourquoi et comment cet élément influence votre SEO. Comprendre le comportement des utilisateurs Imaginez que vous êtes Google. Vous avez l’habitude de classer choucroute.com en première position pour le mot-clé « choucroute » et mega-choucroute.net en deuxième. Cependant, vous constatez un schéma problématique : après avoir cliqué sur le premier résultat, les utilisateurs reviennent rapidement aux résultats de recherche pour cliquer sur le deuxième lien, puis ne reviennent plus. Pour Google, ce comportement, appelé pogo-sticking, est un signal fort : le premier site ne satisfait pas les attentes des utilisateurs. Si cette tendance persiste, Google réajuste son classement pour mieux répondre à la satisfaction des internautes, plaçant mega-choucroute.net en tête.

Faut-il vraiment publier tous les jours pour réussir sur les réseaux sociaux ?

Le débat sur la fréquence de publication sur les réseaux sociaux est un sujet récurrent, surtout parmi les créateurs de contenu et les influenceurs. Est-ce vraiment nécessaire de poster chaque jour pour gagner en visibilité et fidéliser son audience ? Cet article explore cette question en s’appuyant sur une expérience personnelle : publier quotidiennement pendant un mois pour analyser les résultats. Le mythe du post quotidien Quand on échange avec des influenceurs, une idée revient souvent : publier tous les jours serait la clé du succès. Cette régularité permettrait de rester présent dans l’esprit des abonnés, d’améliorer les algorithmes des plateformes et d’augmenter les chances de viralité. Mais est-ce une vérité universelle ou un simple biais lié à ceux qui réussissent déjà ? Pourquoi cette croyance est répandue L’expérience : un mois de publication quotidienne Pour démystifier cette croyance, une méthode expérimentale est mise en place : publier chaque jour

Comment lire les stats d’une newsletter ?

Lorsqu’on parle d’une newsletter, on entend souvent parler du taux d’ouverture ou du taux de clic. Mais saviez-vous qu’il existe d’autres indicateurs tout aussi essentiels pour analyser vos performances ? Découvrez dans cet article comment lire les statistiques de vos newsletters et en tirer les meilleurs enseignements. 1. Les principaux indicateurs à connaître Le taux d’ouverture Le taux d’ouverture mesure le pourcentage de destinataires ayant ouvert votre newsletter. C’est un excellent indicateur pour évaluer l’efficacité de votre objet et de votre pré-header. Le taux de clic Le taux de clic correspond au pourcentage de lecteurs ayant cliqué sur un lien dans votre newsletter. Il reflète l’intérêt pour votre contenu et l’efficacité de vos call-to-action (CTA). Le taux de délivrabilité Moins connu mais tout aussi crucial, le taux de délivrabilité indique combien de vos emails ont effectivement atteint la boîte de réception des destinataires. Un mauvais score peut révéler des problèmes

Comment améliorer le taux d’ouverture de vos newsletters

Améliorer le taux d’ouverture de vos newsletters est essentiel pour garantir que vos messages atteignent efficacement votre audience. Voici quelques conseils pratiques pour maximiser l’impact de vos emails et inciter vos abonnés à les ouvrir. 1. Soignez votre nom d’expéditeur et l’objet de votre email Lorsque vos destinataires reçoivent une newsletter, ils voient avant tout deux éléments clés : votre nom d’expéditeur et l’objet de votre email.Ces éléments jouent un rôle décisif dans le taux d’ouverture de vos messages : 2. Adaptez le contenu pour éviter les filtres de promotion et de spam Le contenu de votre email a également un impact sur le taux d’ouverture. Si vos newsletters sont trop promotionnelles, elles risquent d’atterrir dans l’onglet « Promotion » ou, pire encore, dans les spams. Voici quelques astuces pour éviter cela : 3. Envoyez vos newsletters uniquement à ceux qui l’ont demandé Cela peut paraître évident, mais n’envoyez vos newsletters qu’aux

Comment booster le taux de clic de vos newsletters

Pourquoi un bon taux de clic est essentiel ? Envoyer une newsletter intrigante, c’est bien. Mais faire en sorte que vos lecteurs cliquent sur l’appel à l’action, c’est encore mieux ! L’objectif ? Que votre email ne se contente pas d’être lu, mais qu’il suscite une action. 1. Ciblez les bonnes personnes Inutile d’envoyer vos emails à toutes les adresses disponibles. Pour un meilleur taux de clic, adressez-vous aux bonnes personnes : celles qui seront vraiment intéressées par votre contenu. 2. Rédigez un objet captivant L’objet de votre email doit évoquer un bénéfice clair pour le destinataire. C’est ce qui incitera vos lecteurs à ouvrir l’email et à continuer leur lecture. 3. Maintenez l’intérêt tout au long de l’email Tout au long de l’email, faites monter la « température » pour maintenir l’intérêt du lecteur. Utilisez un ton engageant et créez une attente : le lecteur doit sentir qu’il manque

Pourquoi lire les statistiques de vos newsletters est important ? 

Exemple concret :Imaginons que vous vendez des chaises longues.Vous avez un fichier client de 1000 emails et vous envoyez un message avec une offre spéciale. Le lendemain, vous consultez vos chiffres de vente, et… aucune vente. Pourquoi ça n’a pas fonctionné ? Plusieurs questions se posent : Sans les statistiques, impossible de savoir Si vous ne savez pas lire vos stats, vous n’avez aucune réponse à ces questions, et vous ne savez pas par où commencer pour améliorer votre prochaine newsletter. Une mini-formation gratuite pour vous aider Pour vous éviter de vous sentir perdu face aux statistiques, j’ai créé une mini-formation gratuite. À tout de suite dans la formation !

Arrêtez de foirer vos newsletters

Salut à tous ! Aujourd’hui, on est là pour aborder un sujet que personne n’aime vraiment admettre : les newsletters qui finissent dans la corbeille. Vous voyez de quoi je parle ? Oui, ces emails aux taux d’ouverture et de clics si bas qu’ils vous donnent presque envie de pleurer. Pas de panique ! Je suis là pour vous donner quelques astuces pour transformer vos mails en véritables stars de la boîte de réception. Spoiler alert : même si vous êtes un expert dans votre domaine, ça ne fait pas forcément de vous le roi ou la reine de la newsletter. Mais pas de souci, cela s’apprend ! 1. L’objet de votre mail : votre arme secrète L’objet de votre email est votre première et meilleure chance de capter l’attention. Écrivez-le avant tout ! Posez-vous la question suivante : quel objet va donner envie de cliquer ? Exemple : Imaginez

7 erreurs classiques à éviter avant d’envoyer une newsletter

Découvrez les erreurs fréquentes que font souvent les créateurs de newsletters et apprenez comment les éviter pour optimiser vos résultats ! 1. Attendre d’avoir une newsletter prête pour commencer à récolter des emails Erreur courante : Attendre d’avoir du contenu pour récolter des abonnés.Pourquoi éviter cela ? Commencez à collecter des emails dès maintenant ! Cela vous permet d’avoir une audience prête à recevoir votre contenu dès que vous êtes prêt à l’envoyer. 2. Ne pas qualifier vos contacts dès le départ Erreur courante : Recueillir uniquement des adresses email sans autres informations.Pourquoi éviter cela ? Des données comme le code postal, l’âge ou le genre peuvent vous aider à cibler des sous-segments spécifiques de votre audience. Plus vous en savez, plus vos envois seront pertinents. 3. Envoyer le même contenu à toute votre audience Erreur courante : Ne pas personnaliser vos messages pour différentes audiences.Pourquoi éviter cela ? La

Vendre SUR Internet vs Vendre GRÂCE à Internet : Quelle Différence pour Booster Vos Ventes ?

Est-ce que vendre SUR Internet et vendre GRÂCE à Internet, c’est vraiment la même chose ? Beaucoup de créateurs et artistes font l’erreur de ne voir Internet que comme une vitrine pour vendre leurs produits ou services, sans exploiter tout le potentiel qu’il offre pour augmenter réellement leurs ventes. Voici un exemple concret avec une humoriste qui se sentait coincée par les plateformes de billetterie. Le Problème : Travailler Gratuitement pour les Plateformes Une humoriste est venue me voir avec une frustration : ce n’est pas elle qui vend directement ses places de spectacle, mais des plateformes comme Fnac Spectacles ou Billet Réduc. Elle avait l’impression de se limiter à faire des blagues sur Instagram en espérant que cela génère des ventes de tickets. Je lui ai donc fait remarquer qu’en fait, elle travaillait gratuitement pour ces plateformes. En effet, elles ont des programmes d’affiliation qui reversent jusqu’à 40 centimes