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Ecologie

Kelly Slater – Episode de la canette à Teahupoo en 2005

J’ai fini par retrouver une vidéo où on voit effectivement Kelly balancer une canette de Hinano dans le lagon, comme j’en parlais ici et la C’était donc pendant la finale de 2005 de la Billabong à Teahupo’o, après avoir surfé une vague avec une canette dans la bouche, avoir tubé et être ressorti en prenant une gorgée de bière, Kelly exulte, et… lance sa canette dans le lagon. On mettra ça sur le compte de l’adrénaline, mais aucun média ne s’en est fait l’écho à part moi, à ma connaissance, voila, c’est dit. (Kelly reste mon héros en surf, mais quand même, faut pas déconner…)

La taxe carbone aura-t-elle raison de l’économie polynésienne… ?

Suite à une discussion lors d’une soirée et à propos de la taxe carbone qui va bien finir par voir le jour en France/Europe, ça m’a rappelé ce billet que j’ai relu et qui est plus que jamais d’actualité, 3 ans plus tard… Ca s’appelait « Grenelle m’a tuer » et c’est par ici…

Réserves Surf

Article Tahiti Presse à lire : La liste est prête et une plage emblématique australienne, qui sera révélée avant la fin de l’année, figurera aux côtés de Waikiki à Hawaï et de Malibu en Californie. Cette nouvelle liste reconnaît les plages de surf de qualité exceptionnelle dans le monde. https://www.tahitipresse.pf/2010/03/premiere-creation-de-reserves-de-surf-a-travers-le-monde/ une autre lecture intéressante pour compléter le sujet : https://surfeconomics.blogspot.com A votre avis, à Tahiti, quel spot mérite le statut de réserve ? (moi je dis l’embouchure, on éviterait peut-être ce genre de choses)

The Golden Pig

Documentaire très bien foutu d’un réal australien sur l’impact de la surf colonisation à Nias. via :  Surf Economics

Pétition papier

Une pétition version 1.0 (papier) est disponible à la signature sur le stand de Fenua Animalia dans les jardins de la mairie de Papeete. Bien entendu, la version 2.0 est toujours disponible à la signature ici

Les chiffres derrière la pollution

Concernant la pollution du début de la semaine, renseignements pris, l’autorisation a été donnée par le ministère de l’équiment (arrêté 5MEQ du 13 mai 2008). J’ai eu une nana de la mairie de Papara qui m’a dit que le maire s’oppose aux extractions, mais que le ministère peut faire sans l’accord du maire. L’extraction est limitée à 1000 mètre cube, sachant que le mètre cube de sable se vend environ 1200XPF, ça nous fait un marché à 1,2 millions. Donc, voila, tout est dit, entre la santé publique des enfants qui vont se baigner à la plage, et un marché de 1,2 millions, le ministère a tranché. Le plus grave, c’est que tout le matériel pour contenir la pollution était sur place, puisqu’il a été installé moins d’une heure après la fuite ! (En même temps, c’est vrai que c’est fatiguant de poser un barrage flottant anti pollution…) Bref, c’est

Venez nombreux signer la pétition

Pour une nature préservée, et un respect du aux spots de surf, signez la pétition qui sera remise au ministère de l’équipement, la commune de Papara, la commune de Papeno’o ainsi qu’au ministre de l’environnement. le lien ici

Extraction suivie d’une polution dans l’embouchure de Taharu’u

En sortant de l’eau aujourd’hui à Papara, j’ai eu le plaisir de constater que l’embouchure de Taharu’u est le théatre d’extraction (à la pelleteuse) visiblement dans le cadre d’une autorisation délivrée par le maire de Papara. Je vous laisse juger de l’impact sur la rivière… De plus, la machine outil a pété une durite au sens propre, et la polution à l’huile s’est répandue dans l’embouchure et sur le spot. Visiblement équipé, le ministère de l’équipement a mis (un peu tard) un barrage anti polution (qu’ils auraient pu mettre de manière préventive, non…) Ca a été l’occasion pour moi de constater que les douches de Papara sont toujours dans le même état…