Politique

Sport à deux vitesses ?

Comme vous pouvez le lire ici, grâce à une subvention supplémentaire de 21 Millions, Au total, le ministère de la Jeunesse et des Sports participe à hauteur de 44 millions Fcfp (environ 367 000 euros) pour l’organisation de la seizième édition de l’Hawaiki Nui qui se déroulera les 24, 25 et 26 octobre dans l’archipel des îles Sous-le-Vent. Soit le double de ce qui était prévu (et qui était déja pas mal…). J’aimerais bien que Tahiti Presse soit aussi conciencieux avec Hawaiki Nui qu’avec la Billabong, comme ça on apprendre le nombre collosal de millions « qui sont injectés chaque année dans l’éconnomie polynésienne » grâce à Hawaiki Nui (qui est retransmis…euh, sur TNTV ?)… J’ai l’air aigri ? Donnez moi, 44 millions par an (ce qui, au passage est à peu de chose près le budget de 100 poubelles de plage), c’est a dire 120 000 XPF par jour, je vais

Le Blog de Maheanuu

Si vous ne connaissez pas, j’ai redécouvert le blog de Maheanuu, au travers de sa nouvelle version

Pourquoi la Billabong est-elle la seule compétition à Teahupo’o ?

Ce mois-ci encore, Tahiti Business par la voix d’Isabelle Bertaux nous offre un dossier sur le surf. Cette fois, c’est le Tow In qui est à l’honneur. Le Tahiti Business étant un magazine généraliste, c’est sans surprise que l’on trouve des pages de la qualité à laquelle Isabelle nous a habitués, mais manquant singulièrement de polémique alors que le sujet le permettait.
La question qui fait mal, la question génante , la seule la vraie, n’a pas été posée, et c’est cette question qui est l’objet de mon baratin d’aujourd’hui… Bonne lecture à tous !
(je rappelle, mes billets étant de plus en plus polémiques et néanmoins journalistiques, que des droits de réponses seront accordés à ceux qui en font la demande en commentaire)

Aux armes citoyens (et surfeurs)

Je vous rappelle qu’il est IMPORTANT d’aller se renseigner sur le projet d’usine houlomotrice sur le reef de Papara. Pour info, voici ce qui se passe à Sanary sur Mer, prenez cinq minutes pour lire cet article et imaginez la même chose en pire (une USINE sur le reef !). Pöur ceux qui doutent encore, voici l’extrait du Journal Officiel de la Polynésie française : Je me suis un peu renseigné, c’est la SEDEP, société de bureau d’étude trouble de Dominique Auroy (non moins trouble, fortune faite au Gabon à ma connaissance, je vous laisse imaginer comment, que l’on connait plus en PF pour ses vins) qui s’est fait une spécialité de faire des études bidons sur des projets bidons qui ne verront jamais le jour, mais à grand frais (en gros, leur technique, c’est « un tunnel entre Tahiti et Moorea? c’est pas possible, mais pas de problème on vous

Tow In

Un article sur le Tow in est dans le nouveau Tahiti Business, comme a mon habitude, je vais compléter. (j’en profite pour dire aux gens que je cite ou mets en cause dans mes articles qu’ils disposent d’un droit de réponse, il suffit de me le demander en commentaire)

Usine Houlomotrice ?!?

J’avais découpé cette coupure de presse il y a un bon moment, mais je l’ai oublié depuis, voici qui est réparé Quelqu’un sait il précisément ou est le récif Turipahure ? (j’espère que c’est pas le spot devant Taharu’u au large…)

Le paradoxe du sponsoring

Le dernier machin que j’ai pondu sur le sponsoring, en tournant les choses en dérision a été beaucoup lu, et repris à la radio. Je me suis dit que ca méritait une approche plus complète et plus approfondie. Aujourd’hui, donc, je vous propose l’analyse du paradoxe du sponsoring, au travers du sponsoring féminin, qui se révèle plus facilement que le sponsoring masculin. C’est mystérieux ? Lisez plutôt…

Documentaire sur Mundaka

Dans le cadre des extractions sauvages à la Papeno’o, j’ai de nombreuses fois évoqué l’exploitation massive de Mundaka, qui a notamment débouché sur le dragage du port de pèche, qui a lui même débouché sur la fuite du sable et l’arrêt de la vague pendant deux ans. Procurez vous ce docu, et regardez le en pensant très fort à Teahupo’o et Papeno’o…

Extractions – Faites vous une idée vous même…

Comme d’habitude, la presse fait un truc raccoleur sans aller au fond des choses, je vous mets les échanges de mails avec les divers intervenants, pour que vous puissiez juger sur pièce… (à lire de bas en haut)
PS : Vous remarquerez les adresses qui sont utilisées (Georges Peni, dircab de Drollet, et Patrick Leboucher, dircab de Oscar à l’époque) qui prouvent bien que le problème a été évoqué « en haut lieu »… sans suite autre que « ben oui ben c’est comme ça » !