Ce petit volume, mi-livre, mi-bande-dessinée, retrace la vie de Jacques Braunstein, père célibataire. Le mode de garde de son enfant est « chez la mère la semaine, chez le père le week-end ». L’auteur décrit le rythme de vie de ces nouveaux-anciens-couples qui se refilent les enfants, qui tente de reprendre leur vie sentimentale avec toutes les complications que la logistique parentale représente.
Le livre n’est pas inoubliable mais il est très « calme ». Pas d’animosité, pas de violente dispute. Pas de coups bas entre les parents, juste la sensation que le temps est très long, entre le moment où l’on se sépare et le moment où on reprendre le contrôle sur sa vie amoureuse.
A lire, donc, mais pas forcément juste après une rupture « coeur brisé« . La philosophie un brin fataliste de l’ouvrage pourrait sinon passer au dessus de la cafetière du lecteur 🙂