De l’autre côté de la rupture
article librement traduit de celui-ci c’est aussi dur pour eux que pour vous. Dans l’inconscient collectif, la personne qui est quittée a le monopole du « coeur brisé », et elle seule peut le revendiquer. La personne qui quitte est vilipendée, décrite comme quelqu’un de cruel, monstre sans âme qui se promène de ci de là, déchirant les coeurs des personnes qu’elle rencontre. Alors qu’en fait, non. Je sais que c’est dur d’être rejeté.e. Ça fait atrocement mal d’être celui qui est quitté, et ça rend vraiment fou de ne pas avoir de prise sur cette décision. Cependant, c’est aussi difficile d’être celui ou celle qui quitte. Etre celui ou celle qui doit prendre cette décision difficile et néanmoins binaire : oui ou non Rompre avec quelqu’un est pire que de licencier quelqu’un. Et généralement, on admet que licencier quelqu’un est l’une des choses les plus dures pour un manager. Seuls les