Comme vous le savez peut-être, mes enfants ont réalisé le logo ci-dessus.

En 2012, j’ai écrit « Je me suis fait larguer ». C’était à l’origine un programme quotidien que l’on recevait par mail, et c’est ensuite devenu un livre édité par Eyrolles. Lors de la promotion de ce livre, j’ai produit beaucoup de contenu pour positionner ce site sur les thématiques de la rupture amoureuse. Il reste quelques exemplaires du bouquin à la vente, mais je ne vends plus le programme. 
Le contenu ci-dessous date de cette époque et génère encore un peu de trafic sur ce site.

Comme vous le savez peut-être, mes enfants ont réalisé le logo ci-dessus.

Outre l’aspect « pratique » de pouvoir disposer d’un logo candide à peu de frais et qui colle finalement assez bien à l’idée du site, il y a cependant une raison insoupçonnable à ce logo.

Cette raison, c’est Antoine de Caunes.

A la lecture de cette explication sibylline, il y a peu de chance que vous fassiez le rapprochement.

Les trentenaires qui me lisent — voire quarantenaires — se souviennent probablement du dessin-animé Cobra et de la série X-Or. Vous ignorez sans doute qu’Antoine de Caunes est l’auteur des génériques de ces deux monuments télévisuels de notre enfance.

Une fois que, ne me croyant pas, vous aurez cherché sur Internet, vous aurez sans doute également découvert que la mère de ce dernier, Jacqueline Joubert, n’était autre que la directrice des émissions jeunesse d’Antenne 2.

J’ai pris l’habitude depuis longtemps, lorsque quelque chose m’intrigue, de me demander « comment font les riches dans cette situation ? »

L’envie de mettre le pied à l’étrier à son fils est bien légitime, mais pourquoi aller l’emmerder à lui faire écrire des paroles navrantes quand on pourrait lui trouver un emploi intéressant ?

La réponse tient en deux points :

  • Droits d’auteur : une fois le boulot fait, les droits tombent tant que l’ « oeuvre » se vend, contrairement à la rémunération d’un emploi qui cesse avec celui ci.
  • Cotisations sociales réduites : sachant que sur un salaire, il y a 42% de cotisations patronales et 22% de cotisations salariales, quelles sont à votre avis les cotisations sur les droits d’auteur ? Plutôt que vous répondre, je préfère vous laisser entrer un chiffre dans le simulateur de calcul de l’Agessa

Vous trouvez ça incroyable ? Encore une fois, souvenez-vous : « comment font les riches ? »

(mes enfants, en tant qu’auteurs du logo, toucheront le cas échéant bien plus via les droits d’auteur faiblement taxés que via ma propre rémunération amputée d’une succession ou autre)

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