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Le petit guide de survie après la rupture

Second examen des livres sur la rupture après une première lecture catastrophique, Le petit guide de survie après la rupture est paru chez les éditions du Toucan en 2008. Autant le dire tout de suite, la lecture fut nettement moins laborieuse que la dernière fois. Le parti pris est assez clair dès le début, si vous ne l’aviez pas compris à la couverture, cet ouvrage ne s’adresse qu’aux dames. Messieurs, merci de bien vouloir transposer, nous parlerons donc au féminin tout au long de ces chapitres. Sophie Brafman nous propose une sorte de « plan de bataille » post-rupture qui se lit assez bien. Beaucoup d’emprunts sont faits aux magazines féminins, et l’on alterne les check-lists, les tests, les illustrations-clin-d’oeil-humouristique et les tranches de vie. Ces dernières s’appellent carrément « C’est son histoire », probablement une référence à la rubrique jumelle du magazine Elle.

Remonter la pente quand on vient de se faire larguer

Le « marché » de la rupture est vaste, il suffit d’aller faire un tour au rayon développement personnel de la FNAC pour s’en convaincre. Je n’ai pas lu beaucoup de livres sur la rupture à l’époque, mais désormais il est de mon « devoir » d’analyser la « concurrence » 🙂 J’ai donc entrepris de lire les livres qui traitent du même thème et sur le même ton que « Je me suis fait larguer », le premier d’entre eux m’est tombé sous la souris est Remonter la pente quand on vient de se faire larguer. (Vuibert Pratique) Le moins qu’on puisse dire est que sa lecture ne m’a pas laissé insensible. Les soupirs de protestations que j’ai poussés ont même conduit mon père, en vacances chez moi, à le lire à son tour pour constater lui-même les dégâts. Il a fait le même constat que moi.

7 bonnes raisons de quitter Facebook (temporairement ?) après une rupture

Les nouvelles technologies sont pleines de bonnes choses, nombreuses sont les nouveautés dont on ne se passerait plus pour tout l’or du monde. Cela dit, après avoir étalé votre amour et votre vie privée à la face du monde (à tout le moins du « monde numérique ») assumer votre situation de récent(e) séparé(e) se révelle plus compliqué maintenant que tout le monde peut deviner votre état psychologie en regardant votre profil

Premiers retours positifs !

Je prends le risque de provoquer ma bonne étoile en vous annonçant les premiers retours des envois du manuscrit de « Je me suis fait larguer » C’est très prometteur ! 🙂

JMSFL dans Le Petit Agenda

Merci à Sophie et Jérome pour leur clin d’oeil dans Le Petit Agenda de février.  

Premiers retours chiffrés

Une des choses fascinantes sur Internet, c’est qu’on peut avoir des retours précis sur l’utilisation que font les lecteurs des chapitres qui leur sont envoyés. La particularité de « Je me suis fait larguer » c’est que chaque eBook est associé avec l’envoi d’un chapitre par jour pendant trente jours. Ainsi, en analysant la proportion de lecteurs qui ouvrent les chapitres-emails chaque jour, voici ce que l’on découvre : Lecteurs ouvrent les mails qu’ils reçoivent de « Je me suis fait larguer » jusqu’à 4 fois plus qu’une newsletter classique C’est d’autant plus saisissant que les lecteurs ont déjà lu ces chapitres, puisqu’ils sont acquéreurs du eBook et savent donc qu’ils n’ont rien à apprendre de plus que ce qu’ils ont pu découvrir dans la version livre. Qu’en déduire, sinon que le contenu et la qualité des chapitres est suffisamment importante pour pousser les gens (60% d’entre eux, à minima) à relire, 30 jours durant, des

Je me suis fait larguer

Naturellement, je ne vais pas faire la critique de mon propre livre, je me contente de créer une fiche en reprenant la note moyenne des commentaires sur Amazon. Vous pouvez également lire les témoignages ou découvrir le programme de 43 jours pour surmonter une rupture. Comment en suis-je venu à écrire « Je me suis fait larguer » : Le hasard a voulu que deux de mes amies proches se séparent toutes les deux de leur conjoint à une semaine d’intervalle. Elles ne se connaissaient pas, et je passais beaucoup de temps au téléphone avec chacune d’elle afin de leur remonter le moral comme je pouvais. Régulièrement, après avoir raccroché, les conseils à l’emporte-pièce et les banalités de la conversation qui venait de s’achever me poussaient à compléter celle-ci par des condensés quotidiens de motivation et d’énergie sous la forme d’e-mail. Le succès de ces e-mails auprès de mes deux amies a posé la première

Chaussures et petites voitures, sonnet badin.

Un matin, en me réveillant, J’eu la surprise, en me chaussant, De découvrir dans mes souliers, Les jouets que mes fils y avaient laissées. Amusé d’abord, attendri ensuite, Avec leur rire argenté comme douce musique, Je les embrassais en étouffant un sanglot, Dieu que cela me semblait beau. Désormais chaque lessive Du linge trouvé dans leur chambre vide, Est la promesse d’une surprise, D’une pièce, d’un soldat, d’une bêtise, Puisqu’en fouillant leurs poches je me fais fort, De découvrir tous leurs trésors.

Lettre ouverte à ceux que ça intéresse

Je ne suis pas une machine J’ai des sentiments, et je ne les cache jamais, au risque de passer pour un excentrique / une fiotte aux yeux de certains Je vis une période difficile, où j’ai enchainé 2 ans de « caverne », pendant lesquels je me levais le matin pour faire trois mètres et entrer dans un bureau dont je ne sortais que rarement. Cette période pouvait être perçue comme « la belle vie », mais il se trouve que j’étais prestataire de plusieurs boites dont celle de ma femme, et que j’avais très peu de temps pour moi, même pas pour aller surfer. (Ce lien de subordination n’est pas précisément quelque chose qui facilite les relations de couple, je n’ai pas besoin de l’expliquer) Depuis janvier, je suis passé de la caverne au GIE, où j’ai des horaires de bureau compatibles avec les embouteillages, mais pas compatibles avec le surf (avant, trop d’embouteillage