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Pourquoi ce nom ?

Comme vous vous en doutez surement, j’ai été de nombreuses fois dans la situation de l’As en informatique. J’ai rendu d’innombrables services informatique au motif que « moi je sais » et que mon interlocuteur, lui « ne sait pas ». Curieusement, si votre enfant de 7 ans refuse de faire ses lacets et exige que vous lui fassiez au motif que « vous, vous savez » et que « lui ne sait pas », vous allez rapidement finir par lui apprendre à les lacer seul. Mais le monde de l’informatique a ceci de particulier qu’il n’obéit pas aux mêmes règles. Si vous avez moins de trente ans, il est quasiment certain que vos parents ont eu accès à l’informatique dans le cadre de leur travail avant même que vous soyez en âge de taper sur un clavier. J’ai trente sept ans et c’est mon cas. Et pourtant, aujourd’hui, qui demande des conseils aux autres ? Ceux là même qui,

A propos du Business Model #2

« Je suis nul en informatique » n’est ni plus ni moins qu’une boite de nuit. [disclaimer : les descriptions suivantes contient des approximations douteuses pour simplifier le raisonnement, ne m’en tenez pas rigueur si cela parait sexiste, je vais pas prendre des précautions oratoires à chaque ligne, merci de votre compréhension] En boite de nuit, les garçons acceptent de payer l’entrée, tout en sachant que les filles rentrent gratuitement. En boite de nuit, les garçons viennent pour coucher avec des filles qu’ils rencontreront sur place. La boite de nuit fait tout ce qu’elle peut pour avoir le plus de filles sur la piste, et par ricochet gagne sa vie en faisant payer les garçons. En payant l’entrée, les garçons comprennent qu’ils payent la possibilité de rencontrer un grand nombre de filles qui, pour certaines, souhaitent être rencontrées. Si les garçons rentrent bredouilles, ils n’en veulent pas spécialement à la boite de nuit. Les garçons et les

La douloureuse question du lancement

Dans une plateforme de mise en relation, quitte à enfoncer une porte ouverte, on met en relation une population A avec une population B. Et naturellement, si on compte gagner de l’argent sur ces mises en relation, il vaut mieux que les deux populations soient représentées dans l’audience du site dès le lancement. En l’occurrence, il est bien plus décisif pour « Je suis nul en informatique » d’atteindre rapidement une masse critique d’As en informatique afin de pouvoir proposer aux Nuls en informatique des possibilités de régler leurs problèmes. De plus, la viralité naturelle du projet est forcément plus importante pour les Nuls en informatique, c’est pourquoi mes efforts sont concentrés sur les As. Sachant, comme vous le lirez dans un article à venir, que les As adhèrent — à terme — à un abonnement mensuel, voici les différentes stratégies de lancement que j’envisage, voire que j’ai déjà mises en place pour certaines : Les utilisateurs gratuits.

Lorsque l’idée de mettre en relation des Nuls en informatique avec des As en informatique, la…

Lorsque l’idée de mettre en relation des Nuls en informatique avec des As en informatique, la question de « qui paye quoi, et comment? » est arrivée assez rapidement. Mais j’y reviendrai dans un second billet. Car dans un premier temps, il est plus important d’expliquer pourquoi ce marché n’est pour l’instant pas exploité. De la même manière qu’avant le web, il était impossible de développer réellement le covoiturage — à part à la cubaine, avec les piétons qui complètent les voitures vides au péage — le marché de l’aide informatique est aujourd’hui ultra sous-exploité. Aujourd’hui, quelqu’un — appelons le Maurice — qui n’est pas autonome avec — par exemple — son ordinateur portable se retrouvera un jour ou l’autre dans la séquence suivante : un problème se présente sur l’ordinateur de Maurice Maurice met à contribution son neveu : « Toi qui est passionné d’informatique, tu veux pas [insérer une description très floue du problème ici] » Le neveu « répare » l’ordinateur. En fonction de la patience/compétence du neveu de

Comme vous le savez peut-être, mes enfants ont réalisé le logo ci-dessus.

Comme vous le savez peut-être, mes enfants ont réalisé le logo ci-dessus. Outre l’aspect « pratique » de pouvoir disposer d’un logo candide à peu de frais et qui colle finalement assez bien à l’idée du site, il y a cependant une raison insoupçonnable à ce logo. Cette raison, c’est Antoine de Caunes. A la lecture de cette explication sibylline, il y a peu de chance que vous fassiez le rapprochement. Les trentenaires qui me lisent — voire quarantenaires — se souviennent probablement du dessin-animé Cobra et de la série X-Or. Vous ignorez sans doute qu’Antoine de Caunes est l’auteur des génériques de ces deux monuments télévisuels de notre enfance. Une fois que, ne me croyant pas, vous aurez cherché sur Internet, vous aurez sans doute également découvert que la mère de ce dernier, Jacqueline Joubert, n’était autre que la directrice des émissions jeunesse d’Antenne 2. J’ai pris l’habitude depuis longtemps, lorsque quelque chose m’intrigue, de me demander « comment

J’ai toujours aimé les histoires. Malgré mes études scientifiques et mes notes exécrables en fran…

J’ai toujours aimé les histoires. Malgré mes études scientifiques et mes notes exécrables en français, j’ai toujours aimé ça. En 2001, je montais ma première société. Je n’aime pas beaucoup utiliser des choses dont je ne comprends pas le fonctionnement et j’avais décidé, plutôt que d’utiliser un logiciel de comptabilité existant, d’en créer un ultra-simple online pour les tous petits besoins que j’avais. J’avais — à l’époque — une vision assez romantique de l’entreprise et je m’étais mis en tête de publier ma compta automatiquement sur mon site Internet. Ca me paraissait une bonne idée et un ami de l’époque m’en a malheureusement dissuadé. Il me semble, pour avoir depuis lu Patrice Cassard ou Xavier Denamur dans leurs oeuvres, que c’était bel et bien une bonne idée. J’ai la sensation de tenir aujourd’hui LA bonne idée. Suffisamment pour appliquer le précepte « Screw it, let’s do it ! » de qui-vous-savez. Je vous parlerai dans ces colonnes, sans ordre particulier,

La rupture vue par Golden Moustache

La rupture est un moment désagréable pour tout le monde. Pour celui ou celle qui largue, oui, mais aussi pour celui qui s’est fait jeter comme une daube. Ce texte s’adresse à ceux-là. Reprenez vous. https://www.goldenmoustache.com/se-remettre-dune-rupture-avec-style-49293/

Ce que Google sait de notre rupture

Une fois n’est pas coutume, Cosmo sort un article très marrant et astucieux sur la rupture Ah la rupture… Ces doux moments de pleurs et de sanglots entrecoupés par des cuillérées de glace Ben&Jerry. Heureusement pour toutes les jeunes célibataires de la planète, il y a Google et ses réponses à tout. L’ami Google nous aide tellement ! La preuve avec 18 recherches qu’on fait toutes après une rupture. à lire ici : https://www.cosmopolitan.fr/,rupture-amoureuse-les-18-recherches-qu-on-fait-sur-google,1906456.asp