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Le sport comme alternative à la méditation

Salut ! Je vais vous parler de méditation. Vous vous demandez peut-être pourquoi j’ai ce look de trappeur, c’est parce que je reviens d’une semaine de canoe. Et ça a un lien avec la méditation. D’abord il faut que je vous explique que la méditation, je n’y arrive pas, c’est pas quelque chose qui m’est très très naturel. Même si ça n’est pas naturel pour grand monde, mais je n’y arrive pas. M’asseoir en tailleur, c’est très désagréable pour moi, faire le vide en moi je n’y arrive pas et pourtant entrer en soi c’est quelque chose qui pour moi est un objectif. L’objectif de la méditation, c’est un objectif que j’ai, mais je n’arrive pas à méditer. Donc, au cours de mes expéditions, cette année en canoe, l’année dernière en vélo, etc. je me suis rendu compte que j’atteignais un état qui est assez proche. C’est à dire qu’au

La différence entre un « bon titre » et un mauvais « bon titre ».

Les utilisateurs de « Je suis nul en informatique » n’ont aucune raison de le savoir, mais je également suis l’auteur de « Je me suis fait larguer ». En substance, c’est un bouquin qui parle de la souffrance post-rupture et des manières de s’en remettre. Le livre a été bien accueilli, les critiques sont vraiment bonnes (et unanimes) et j’ai été invité dans de nombreux média pour en parler. Et pourtant… Le choix du titre est décisif Et pourtant, alors que site du livre existe depuis bientôt trois ans, « Je suis nul en informatique » a autant de like&share en quelques mois d’existence et sans aucun relais presse (c’est pas faute d’avoir essayé) En effet, j’ai appris à mes dépends qu’un titre peu être aussi bon pour le lecteur qu’il est mauvais pour la promo. « Je me suis fait larguer » est un bon titre. A m’asseoir derrière mes volumes dans divers salon littéraire, j’ai pu constater systématiquement

Pourquoi je refuse d’indexer normalement #JSNEI

En voyant les chiffres de mars, une commentatrice facebook — coucou Alisson ! — a dit : Besoin d’un petit coup de SEO, non? — cher lecteur qui écarquille les yeux, SEO ça veut dire Search Engine Optimisation. Je vais vous étonner, mais je ne veux pas référencer mon site correctement. Vous ne me croyez pas ? Allez voir sur la page de n’importe quel As, vous verrez que j’ai tout mis en « no-index » — cher lecteur qui écarquille les yeux, « no-index » ça veut dire que je demande à Google de ne pas référencer cette page dans ses résultats de recherche. « Pourquoi ? », vous allez me dire… c’est vrai que ça parait contre productif, mais lisez plutôt. La première raison est barbante et technique : A peu de chose près, toutes les pages d’As se ressemblent en terme de contenu, le risque de la sanction pour duplicate-content est trop fort — cher lecteur-qui-écarquille-les-yeux (LQELY pour la suite) le duplicate-content, c’est en gros le concept qui veut

3 exemples (simples) pour promouvoir une (petite) marque (locale)

Suite à certains commentaires reçus sur le blog et par téléphone, je vous propose une analyse de trois manières de promouvoir un produit très localisé au départ à l’échelle internationale, pour rebondir sur certaines remarques des derniers posts.

Le shape, difficile de trouver quelque chose de plus local. Un shaper, lorsqu’il commence, capitalise progressivement sur l’expérience des clients, et sur le bouche à oreille en fonction de sa manière de faire des planches. Voici donc trois shapers mondialement connus qui s’y sont pris différemment pour imposer leur marque au niveau mondial et pouvoir développer une vraie industrie après quelques années d’atelier.