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Vente

Manaspot ou comment faire une bonne opé promo grâce au surf

Mana vient d’ouvrir un site évenement, à propos des trials de la compétition de Teahupo’o. C’est plutôt bien foutu, ça a le mérite d’expliquer le principe de la redif en streaming vidéo, chose qui n’est pas très facile, je le sais pour avoir essayé plusieurs fois sans succès… De plus, le partenariat (co branding) avec Billabong est plutôt à l’avantage de Mana, puisque le contenu est quand même plus charté mana que billabong (alors que le contenu est licencié Billabong) En fouillant dans le code, on peut voir que la régie pub comporte trois annonceurs, Tim mcKenna, Hinano, et Achat Vente. Il s’agit donc bien d’une première puisque d’habitude, l’usage veut que l’on recolle la régie pub de l’opt sans s’embeter, preuve que le surf commence à vendre par lui même ! (bonne nouvelle !) Le système est complet, Jeu à gratter, promo pour manaspot, tout y est, c’est un

La Honte ! Tout simplement la honte… (Carton rouge à la Brasserie)

J’aurais préféré reprendre le blog sur une note plus positive (ceux d’entre vous qui ne savent pas pourquoi je bloggue moins apprendrons que je suis en phase finale de www.tahitisurftravel.com qui sort la semaine prochaine) Mais la, ça me super énerve ! Vous connaissez la loi Evin ? C’est la loi qui a été mise en place il y a plus de 15 ans (91) pour lutter contre l’alcoolisme (et le tabagisme). En Polynésie, on va même jusqu’à interdire la vente d’alcool certains jours à certaines heures tellement le problème est réel. Une des particularités de cette loi est d’interdire l’association de marque d’alcool avec des évènements sportifs et le monde du sport en général. Notre Brasserie de Tahiti nationale a multiplié les astuces pour pouvoir apposer sa patte sur les compétitions de Va’a/Surf et consort en utilisant le même logo qui sa marque phare Hinano et continuer à sponsoriser

Skate Art – (Les surfeurs/skateurs ont aussi une culture – part #1)

Si vous êtes (ou avez été) skateur, vous avez forcément révassé sur les décos de board, toutes plus hallucinantes les unes que les autres. J’en avais déjà parlé à propos d’un lien de FecalFace sur le père des décos de boards, Jim Phillips Hé ben maintenant, y a un bouquin, pas exactement dans la même veine, moins trash, plus graffiti (plus jeune, quoi, moins ACDC…) mais très intéressant quand même. On y retrouve des têtes connus comme D-Face et d’autres, mais aussi des choses plus ésotériques, plus proche du surf. En gros, ce bouquin rassemble des gens qui ont en commun d’avoir fait des décos de board, et on comprend du coup que tout ne se résume pas à des têtes de mort et des meufs à poil… (enfin, vous vous le saviez, mais comme ça vous pourrez le montrer aux vieux cons…) En vente ici, pour ceux que ça

Vas-y Tere !

Teremoanax, terreur des barbec’ au Belved’ sort son alboume. Allez, un petit geste pour qu’il puisse s’acheter des chaussures ! (en vente à Odyssee et Tahiti Music)

Grenelle m’a tuer !

J’aime autant vous prévenir tout de suite, ce billet est plutôt économique, et risque de vous faire chauffer le cerveau. Non pas que ça soit très compliqué, mais bon, faut quand même suivre un peu, quoi… (pour les vrais économistes qui me lisent, n’hésitez surtout pas à compléter ma vision « limitée »)

Economie du surf en Polynésie française

La réponse du berger à la bergère, c’est a dire à l’article d’Isabelle Berteaux dans Tahiti Business

(l’article est un peu long, mais bon…) [edit]article dispo ici[/edit]

Ce mois-ci est sorti dans Tahiti Business un dossier complet sur le surf et son économie en Polynésie. Pour ceux qui ne l’ont pas lu pour l’instant, et en attendant que je mette des scans de l’article en ligne, voici brièvement les éclairages apportés par le dossier :

  • Un bref retour sur l’historique du surf en PF, avec une conclusion sur Bourez et McComb ma, l’avenir du surf tahitien.
  • Un encadré sur la production de planche et l’importation.
  • Une petite digression sur le paradoxe nombre de pratiquants/nombre de licenciés.
  • Un article dédié à Tanseau, Hee Nalu, Teahupo’o, et Hinano.

Comme vous savez que je n’ai pas vraiment ma langue dans la poche en matière de surf, surtout de surf tahitien, voici mon éclairage à moi sur l’année 2007