Tamaroa SuperStar

Comme vous pouvez le lire dans la dépèche,

et sur surfersvillage, Tamaroa est maintenant un employé de chez Billabong (pas chez Tanseau, hein, directement chez Billabong).
Aucun prix n’est évoqué, on apprend juste qu’il va voyager gratos, et être coaché par Billabong. J’espère pour lui qu’il va être un peu payé quand même, c’est pas long, une carrière de sportif…
Bon, sinon, comme les commentaires et les évenements sont très semblable à ce qui c’est passé pour Flores il y a longtemps, j’ai fait une recherche sur le contrat que Flores avait signé à l’époque. J’ai trouvé ça qui est très intéressant
Outre des similitudes avec les lourdeurs des fédé, on évoque les niveaux de rémunération :

Les marchés américains et européens sont les plus importants pour les marques de surf. C’est un gros business. Ainsi, à niveau comparable, les athlètes de ces régions sont mieux payés que ceux venus d’Australie ou du Brésil, qui gagnent dix fois moins qu’un Européen.

Si c’est dix fois moins, j’attends de voir les vrais chiffres pour la Pf…
L’évocation des contrôles anti-dopage est aussi assez curieuse, et quand on parle du pognon :

Moi, cette année, j’ai gagné environ 40 000 $ en cumulé sur le circuit. Cette somme représente peu comparée à celle que je reçois de mes sponsors.

Donc, si peu c’est moins d’un tiers, on va dire que Mimi gagne 200 000 $ par an, soit 20 millions XPF en gros, sachant qu’évidement il paye pas ses fringues, ses voyages etc…
Si l’un de mes lecteurs/lectrices a des infos sur le contrat « juteux » de Tamaroa, je suis preneur !

Partager