fbpx

Projets

JMSFL dans Le Petit Agenda

Merci à Sophie et Jérome pour leur clin d’oeil dans Le Petit Agenda de février.  

Premiers retours chiffrés

Une des choses fascinantes sur Internet, c’est qu’on peut avoir des retours précis sur l’utilisation que font les lecteurs des chapitres qui leur sont envoyés. La particularité de « Je me suis fait larguer » c’est que chaque eBook est associé avec l’envoi d’un chapitre par jour pendant trente jours. Ainsi, en analysant la proportion de lecteurs qui ouvrent les chapitres-emails chaque jour, voici ce que l’on découvre : Lecteurs ouvrent les mails qu’ils reçoivent de « Je me suis fait larguer » jusqu’à 4 fois plus qu’une newsletter classique C’est d’autant plus saisissant que les lecteurs ont déjà lu ces chapitres, puisqu’ils sont acquéreurs du eBook et savent donc qu’ils n’ont rien à apprendre de plus que ce qu’ils ont pu découvrir dans la version livre. Qu’en déduire, sinon que le contenu et la qualité des chapitres est suffisamment importante pour pousser les gens (60% d’entre eux, à minima) à relire, 30 jours durant, des

Je me suis fait larguer

Naturellement, je ne vais pas faire la critique de mon propre livre, je me contente de créer une fiche en reprenant la note moyenne des commentaires sur Amazon. Vous pouvez également lire les témoignages ou découvrir le programme de 43 jours pour surmonter une rupture. Comment en suis-je venu à écrire « Je me suis fait larguer » : Le hasard a voulu que deux de mes amies proches se séparent toutes les deux de leur conjoint à une semaine d’intervalle. Elles ne se connaissaient pas, et je passais beaucoup de temps au téléphone avec chacune d’elle afin de leur remonter le moral comme je pouvais. Régulièrement, après avoir raccroché, les conseils à l’emporte-pièce et les banalités de la conversation qui venait de s’achever me poussaient à compléter celle-ci par des condensés quotidiens de motivation et d’énergie sous la forme d’e-mail. Le succès de ces e-mails auprès de mes deux amies a posé la première

Chaussures et petites voitures, sonnet badin.

Un matin, en me réveillant, J’eu la surprise, en me chaussant, De découvrir dans mes souliers, Les jouets que mes fils y avaient laissées. Amusé d’abord, attendri ensuite, Avec leur rire argenté comme douce musique, Je les embrassais en étouffant un sanglot, Dieu que cela me semblait beau. Désormais chaque lessive Du linge trouvé dans leur chambre vide, Est la promesse d’une surprise, D’une pièce, d’un soldat, d’une bêtise, Puisqu’en fouillant leurs poches je me fais fort, De découvrir tous leurs trésors.

La volte-face et l’ovin retors

Le Château de la Mothe est mythique pour plus d’une raison, et un épisode de la « vie de château » en particulier n’a rien à envier à la tragédie Shakespearienne. Abel, grand-père jamais à cours d’idées aussi sottes que grenues pour amuser ses petits enfants, avait fait l’acquisition de trois ovins dont un en particulier était habité par le (mauvais) génie des alpages. L’ironie de la fortune avait voulu que Brutus soit le nom choisi pour nommer le seul mâle de la triplette – car il est bien connu que les femelles ne mérite pas de dénomination particulière. Le mode d’emploi du cornard était somme toute assez simple : Une fois dans le champ où paissaient les sus-dits moutons, toute l’astuce consistait à ne jamais tourner le dos au bélier sous peine de se retrouver rapidement sonné sur son séant. Quelque soit sa taille, l’ovidé se précipitait à peine avait-on le dos tourné sur

Juste pour rire, un peu de révisionnisme constitutionnel…

Trouvé sur Wikipédia (n’en déplaise à l’amant de ma femme…)

Le tableau des gouvernements, heu… qu’est ce que je dis, des présidents et des gouvernements de la quatrième république.
(Oui parce que les français sont évidement plus forts que tout le monde, …

L’astro physique en BD pour les surfeurs…

Mon pote allemand Jojo a fait une bédé avec son frère à propos de l’astrophysique https://www.mpa-garching.mpg.de/mpa/institute/news_archives/news_cosmic_01/news_cosmic_01-en.html très marrant !

Les chiottes de mirebel

Les histoires familiales regorgent de ces maisons un peu décrépies qui sont le théatre d’aventures mémorables. La maison de Mirebel, dans le Jura, ne faisait pas exception et était connu pour son confort spartiate. Des doublevécés d’un autre âge tronaient non pas dans la maison mais au fond du jardin, comme il se doit dans des maisons centenaires. Cette particularité prenait tout son sens au coeur de l’hiver où, en pleine nuit, une envie pressante saisissait les enfants. Si cette envie était discrètement soluble dans un lavabo voisin, le cousin ainsi soulagé pouvait rejoindre morphée sans plus d’émotion, en prenant garde à ne pas se faire prendre par les générations supérieures. Lorsque ce besoin tenait plus de la commission, une expédition s’imposait, d’abord vers l’inquiétante cave qui débouchait sur le jardin, puis sur le lointain cabinet. Généralement, une paire de chaussures adultes permettait de se rendre sur le trône. La

La chasse à la truite

Si le chateau de la mothe n’est plus très renommé pour ses eaux poissonneuses, il existe tout de même des histoires de pêche fameuses qui font la gloire des retrouvailles familiales. Lors d’inénarables vacances au chateau, des cousins chanceux purent assister à une partie de pêche très particulière. Ou devrais-je dire de chasse. Une coutume locale veut que les meilleures cannes à peche soient faites en bois de noisetier, de ce noisetier qui pousse au fond des bois et met à l’épreuve les plus courageux des pêcheurs lors de leur quète pour la gaule idéale. Le noeud qui joint le fil et l’hameçon à ladite branche porte à lui seul la science de nombre générations de pécheurs agguerris. Enfin, l’emplacement où tremper sa ligne est un des secrets les plus jalousement gardé au monde, si bien que lors des pêches entre cousins, tout le monde se retrouvait simplement sur le