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Plaidoyer pour la PNL

En 2012, j’ai écrit « Je me suis fait larguer ». C’était à l’origine un programme quotidien que l’on recevait par mail, et c’est ensuite devenu un livre édité par Eyrolles. Lors de la promotion de ce livre, j’ai produit beaucoup de contenu pour positionner ce site sur les thématiques de la rupture amoureuse. Il reste quelques exemplaires du bouquin à la vente, mais je ne vends plus le programme. 
Le contenu ci-dessous date de cette époque et génère encore un peu de trafic sur ce site.

Disclaimer : J’ai mis Freud en image pour faire du clic, parce que je suis un vil webmarketeur, mais je sais bien que Freud et la PNL sont des concepts aussi éloignés que Freud et Nabilla. Mais bon, on se refait pas. Et puis Nabilla aussi, ça fait du clic 🙂

A chaque fois que je parle de PNL (programmation neuro linguistique) j’ai l’impression de passer pour un gourou. La France est tout de même un pays paradoxal. Nous sommes, je crois, le pays le plus consommateur d’anti-dépresseurs et pourtant, il suffit d’évoquer un psychiatre pour que les sourcils se froncent immanquablement. Alors qu’aux Etats-Unis, les conversations sont ponctuées de « My schrink says that… » (« mon psy dit que… »)

Bref, autres moeurs.

Dans mon livre (au chapitre 25 intitulé « Last night a Post-it saved my life ») j’évoque à demi-mot la PNL et la technique des ancrages.

Je vous invite à voir la vidéo ci-dessous, à propos des ancrages en question. Mais comme le mec de la vidéo a  vraiment un look pas possible et que ça risque de vous rebuter, laissez-moi vous décrire le concept avant de vous lâcher dans la nature.

La PNL, c’est quoi ?

En gros, un ancrage, c’est une technique pour associer un geste de votre part à une sensation dont vous avez besoin. Par exemple, si vous avez besoin de confiance avant de prendre la parole en public, vous vous frotter le lobe de l’oreille, et hop ! Pas convaincu(e) ? Vous avez pourtant déjà des ancrages encodés dans votre organisme.

Notamment grâce aux odeurs, votre nez a la capacité de vous projeter en enfance instantanément, ou dans des lieux particuliers. Le feu de bois vous ramène chez votre grand-père, une odeur de détergeant dans les couloirs d’une station de ski, l’odeur du fioul vous évoque la maison de Bretagne où vous passiez vos vacances, etc.

Si ça marche avec votre nez, donnez « sa chance au produit » et regardez la vidéo suivante, ça pourrait bien vous aider !

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