Comme on peut le lire ici Clarenntz Vernaudon « ouvre le débat ». J’aimerais bien savoir comment on peut débattre « des axes stratégiques à mettre en oeuvre » quand on est interdit de gestion (et pourtant ministre…). Cela dit, comme dirait Jean Claude Duss, « sur un malentendu », le surf peut en sortir gagnant…