Marketing

Vous ne devriez pas faire confiance aux algorithmes

Avez-vous déjà remarqué que vos posts à connotation commerciale obtiennent bien moins de visibilité que d’habitude ? C’est l’un des nombreux pièges des algorithmes sur les réseaux sociaux. Dans cet article, nous allons voir pourquoi vous ne devriez pas dépendre des plateformes et comment récupérer des emails qualifiés peut faire toute la différence pour votre stratégie marketing. Les Algorithmes : Un Ennemi pour Vos Posts Commerciaux Souvenez-vous de la dernière fois que vous avez publié quelque chose d’un peu commercial. Qu’est-ce qu’il s’est passé ? Votre post a probablement fait au mieux un dixième de vos vues habituelles. C’est frustrant, n’est-ce pas ? Les algorithmes favorisent le contenu qu’ils jugent pertinent pour les utilisateurs, et, souvent, le contenu commercial n’entre pas dans cette catégorie. Alors, à quoi bon bâtir une audience sur les plateformes si vos posts sont filtrés dès qu’ils deviennent intéressants pour votre business ? Followers vs. Emails

Un Thermostat Intelligent, qu’est ce que c’est ?

(l’offre dont je parle dans la vidéo se trouve ici ) Salut, je viens de recevoir mon Thermostat Nest, ça n’est pas un troisième génération, j’ai profité de l’offre qu’il y a en ce moment sur Amazon,  à 125€ au lieu de 219€, je vous mets le lien de l’offre dans la description. Mais avant de faire le déballage – qui sera bien sûr l’objet d’une vidéo – laissez-moi vous parler de deux choses : Au delà du marketing qui va vous expliquer que Nest rève d’un monde meilleur, un thermostat à la fois, il y a deux raisons principales qui justifie l’utilisation d’un thermostat intelligent ET connecté. Commençons par la partie « thermostat intelligent » : Si je reprends mon vieux thermostat, voici ce que je peux faire avec : Ce n’est déjà pas si mal, mais si j’oublie d’éteindre le chauffage, si je laisse le chauffage en mode weekend, je chauffe la maison

Pourquoi j’ai changé mon fusil d’épaule

Comme je l’ai déjà expliqué ici et là, le lancement de https://www.je-suis-nul-en-informatique.fr est délicat car il a la prétention de créer un marché en mettant en relation deux populations qui n’ont rien à avoir l’une avec l’autre. Après avoir eu quelques surprises sur l’adhésion immédiate des As et celle beaucoup moins immédiate dans les faits des Nuls, j’ai fait les constats suivants. Les Nuls répondent vraiment positivement au service, à son nom, à son message et à son fonctionnement. Pas un jour sans que je reçoive un mail de félicitations, teinté de « je connais plein de gens à qui ça va servir » ou « c’est exactement ce qu’il me fallait ». Cependant, les inscriptions de comptes Nuls sont vraiment très réduite, voire inexistantes au regard des statistiques de visites. Ainsi donc, j’ai d’un côté des statistiques qui s’envolent régulièrement pendant un jour ou deux en fonction des réseaux sur lesquels le lien a été

L’intuition, la surprise et la Porsche de Robert Scoble.

Je ne vais pas beaucoup vous surprendre en vous disant que je crois beaucoup au projet « Je suis nul en informatique ». Son lancement m’a pourtant chamboulé tant il se déroule d’une manière opposée à ce que j’avais imaginé. Et c’est peut être une bonne nouvelle. Pour des raisons que j’ai expliquées dans de nombreux billets précédents, le besoin des Nuls pour de l’aide informatique me semble irrépressible, leur demande extrêmement mal formulée et l’offre inappropriée ou inexistante. Le pari que j’ai fait est donc de proposer un formulaire simplissime qui traduise leur besoin et les mette en relation avec des As capables de régler leur problème. Je m’attendais à ce que les Nuls, voyant un site qui réponde à l’expression de leur besoin (et non pas seulement à leur besoin) se précipitent et opèrent une traction importante sur l’ensemble du projet. J’avais prévu de « résister » à cette pression en mettant en

Les enculés d’en face

Il me faut m’expliquer sur ce titre. Avec mon associé, lorsque j’étais jeune et con — je suis désormais beaucoup moins jeune — nous avions l’habitude d’utiliser cette expression pour désigner nos concurrents. Une version potache — probablement homophobe et sexiste — de Jules-de-chez-Schmidt-d’en-face. C’était vraiment une habitude idiote qui ne reflétait pas grand chose de la réalité, d’ailleurs, puisque beaucoup de concurrents sont devenus des amis, j’en marie même deux le 25 juillet prochain, c’est dire. Bref, là où d’autres parlent poétiquement de la perfide Albion, nous, on disait « les enculés d’en face », voilà. Vous me pardonnerez d’avoir cédé aux sirènes du web marketing pour vous attirer sur ce billet, avouez que ce titre n’y est pas pour rien. Et puisque vous êtes là, parlons de la concurrence. Dans tous les modèles économiques, il y a un mec pas content qu’on lui pique son fromage. Et les modèles basés sur l’innovation disruptive n’y font pas exception. Les exemples

J’ai toujours aimé les histoires. Malgré mes études scientifiques et mes notes exécrables en fran…

J’ai toujours aimé les histoires. Malgré mes études scientifiques et mes notes exécrables en français, j’ai toujours aimé ça. En 2001, je montais ma première société. Je n’aime pas beaucoup utiliser des choses dont je ne comprends pas le fonctionnement et j’avais décidé, plutôt que d’utiliser un logiciel de comptabilité existant, d’en créer un ultra-simple online pour les tous petits besoins que j’avais. J’avais — à l’époque — une vision assez romantique de l’entreprise et je m’étais mis en tête de publier ma compta automatiquement sur mon site Internet. Ca me paraissait une bonne idée et un ami de l’époque m’en a malheureusement dissuadé. Il me semble, pour avoir depuis lu Patrice Cassard ou Xavier Denamur dans leurs oeuvres, que c’était bel et bien une bonne idée. J’ai la sensation de tenir aujourd’hui LA bonne idée. Suffisamment pour appliquer le précepte « Screw it, let’s do it ! » de qui-vous-savez. Je vous parlerai dans ces colonnes, sans ordre particulier,

Les statistiques c’est comme les minijupes

Ca en montre beaucoup, mais ça cache l’essentiel. Cela dit, dans mon cas, je ne m’en remets toujours pas. Il s’est passé un an et demi depuis que je propose « Je me suis fait larguer » en version PDF. Mon projet de départ, comme vous savez peut-être, était uniquement d’envoyer un mail par jour pendant trente jours afin de permettre aux « fraichement largué(e)s » de profiter de ces doses quotidiens d’énergie dont on a malheureusement besoin lorsque l’on est célibataire depuis peu.

Gagne ton trip avec des pros en balançant un secret spot

Bon, je préfère en parler avant que quelqu’un d’autre le fasse : Le google earth challenge est lancé, et le concept, c’est : Trouve un spot secret Positionne le sur google earth Vois une bande de pro débarquer pour surfer ton spot, avec un équipe télé Et pleure pendant vingt ans parce que tu peux plus surfer seul ton spot… Bon, les gars, on est d’accord, hein, vous balancez pas les spots, hein, envoyez les plutôt dans un autre pays… Voici ce que ca donne en sud af’… (via : https://www.blog-introduction.fr/jaime/google-earth-surf-et-marketing/)

Renaud Revel : Umara pe

En plus d’être redac chef à l’Express (magasine français qui n’a rien à voir avec le surf), ce monsieur raconte des bêtises sur Internet… voir ici : https://blogs.lexpress.fr/media/2008/10/marketing-quand-le-surf-nest-p.php?